Les ressources humaines, un puissant levier de rentabilité économique !
Si nous devions schématiser de manière simple l’économie d’une entreprise, nous pourrions l’imaginer comme un sceau :
Il s’agirait de remplir le sceau d’un maximum d’eau : les richesses de l’entreprise, qu’elles soient financières, humaines ou dans les produits ou services proposés.
Mais dans le même temps, il s’agirait qu’il n’y ait pas de fuite dans ce sceau, que ce qu’on y met ne soit pas aussi vite perdu et sources d’épuisements infinis car nous essayons de remplir un sceau percé…
C’est là un des enjeux de la santé au travail : bien manager, elle permet selon l’observatoire social international, les assurances de mutuelles collectives, l’Observatoire International du Travail et autres cabinets spécialisés de :
Bénéficier de 2,20€ à 13 € de rentabilité pour chaque euro investi !
L’entreprise est toujours en recherche du bonne équilibre entre ses recettes et ses dépenses.
En matière de recette, il s’agit d’avoir une bonne productivité et d’être en capacité d’innover (plus l’entreprise innove moins elle est en situation de concurrence donc moins amenée à baisser ses prix). Pour avoir une bonne productivité il faut que les salariés soient en bonne santé physique et mentale, qu’ils disposent d’une bonne organisation et contenu du travail. C’est la même chose en matière d’innovation. Si vous ne disposez pas de bonnes conditions matérielles mais surtout psychologiques vous ne pouvez pas innover. On voit donc ici que chaque élément de recette dépend de la bonne organisation du travail et la bonne santé psychologique de ses acteurs.
En matière de dépenses : lorsque vous ne disposez pas d’une bonne organisation et/ou que vos salariés ne sont pas en bonne santé psychologique, cela a des répercussions sur les délais et la qualité de vos productions. Cela génère des conséquences immédiates sur l’activité commerciale : des pénalités de retards, des surcoûts pour rattraper les erreurs, les retards ou le réajustement de la qualité du travail. Parallèlement cela a également un coût purement social : augmentation de l’absentéisme , du turn-over , du présentéisme (la perte de sens et de motivation sur le poste de travail) sans compter le cout des soins de santé et des prestations d’invalidité.
Pour communiquer de manière chiffrer :
Selon l’OMS (organisation mondiale de la santé) en 2017, 300 millions de travailleurs dans le monde ont exprimé une souffrance au travail, cela s’est traduit par 1000 milliards de dollars de perte de productivité. En france c’est estimé à 74 milliards d’euros.
En Europe, selon
l’OIT (organisation international du travail) le coût annuel de la dépression liée au travail est estimé à 617 milliards d’euros et inclut les coûts supportés par les employeurs résultant de l’absentéisme et du présentéisme (272 milliards d’euros), la perte de productivité (242 milliards), le coût des soins de santé (63 milliards) et le montant des prestations d’invalidité (39 milliards)
A ce titre l’ensemble des acteurs publique et privé s’entendent pour dire que toute action en faveur du développement de la qualité de vie au travail, rapporte pour chaque euro investi, de 2,20€ à 13€ de bénéfice.
Ainsi organiser la réussite du projet d’entreprise à partir de de la santé et qualité de vie au travail des salariés, c’est :
Bénéficier d’une source de créativité renouvelée régulièrement, + 33 %.
Augmenter en moyenne sa productivité de 40%.
Augmenter son chiffre d’affaire de 17% par anpar salarié.
Vous l’avez compris, nous avons évoqué comment remplir le sceau. Mais alors, qu’est-ce qui provoque les fuites de ce sceau ? Comment se matérialisent ces irritants, ces empêcheurs de tourner en rond, ces castrateurs du plaisir au travail que l’on appelle parfois : “conflits interpersonnels”, “absentéisme”, “difficultés managériales”….?
Au-delà d’une réponse sur l’origine, intéressons-nous d’abord à son rapport à l’économie d’entreprise :
Selon le baromètre Cegos “climat social et qualité de vie au travail” en 2015, 42% des salariés ont constaté une dégradation du climat social dans leur entreprise. Cette dégradation se traduit par une augmentation de l’absentéisme, ce qui en matière économique se traduit par : 1% d’absentéisme = 1,87 % de la masse salariale.
Bon et après ?
Et bien, comment se traite généralement l’absentéisme ? Le Manager délègue, “dans la mesure du possible” et de ce qu’il estime “équitable”, la charge de travail aux collaborateurs présents.
Entre la prescription initiale, celle de faire un travail avec un certain nombre de “moyens identifiés et mobilisables”, et le réel de nos activités (celui qui nous empêche de respecter les ratios de temps et de manières générales, nos critères de qualité du travail bien fait), il y a tout un monde.
Faire face à la réalité du travail, c’est essayer de faire la somme des sur-efforts pour que ce qui doit être fait, soit fait. Mais tel un sportif, chacun d’entre nous a sa propre limite, sa propre résistance au réel.
Tout cela ce traduit ensuite dans les tableaux de bords économiques par “une insuffisance de résultat” car souvent ces derniers évaluent l’efficacité individuelle et collective à partir d’une prescription. Ils ne tiennent pas compte des efforts réalisés lors de nos combats, face au réel de nos activités.
Bilan des courses : perte de sens pour les uns, perte d’efficacités pour les autres !
“12 600€, c’est le coût moyen du désengagement réciproque et de la non-disponibilité par an et par salarié tous secteurs confondus” selon une enquête du groupe de mutuel APICIL en 2016.
Alors, qu’en est-il de votre sceau ? Souhaitez-vous faire un point et identifier les pistes pour diminuer les risques de fuite ? Souhaitez-vous être accompagné pour préserver et capitaliser un maximum de “richesses” ?
Réalisez votre diagnostic santé et qualité de vie au travail !
Et vous savez quoi ? De nombreux dispositifs de financement et subventions existent !
Nos interventions peuvent être financées jusqu’a 100%.
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